Cynthia : La bactérie synthétique qui devient dangereuse pour l’homme et l’environnement

Aphadolie

Bactérie OGM Cynthia - 1

La bactérie OGM Cynthia sélectionnée pour lutter contre les marées noires, mute pour s’attaquer aux animaux et aux hommes

Les rapports sur les essais sur les êtres humains qui sont régulièrement effectués par certaines sociétés occidentales sont devenus habituels de nos jours.

Entre autres, on peut rappeler l’histoire de la longue lutte entre les autorités civiles de divers États et le géant chimique américain Monsanto provoqué par les recherches sur les dangers potentiels des produits OGM, et l’herbicide Roundup produit par Monsanto en particulier. Le dommage réel infligé aux entreprises agricoles de divers États doit encore être soigneusement évalué, mais même à ce stade, il est prudent de dire que l’expansion de Monsanto en Inde et dans les marchés environnants a entraîné la mort de milliers de personnes.

Cependant, dans le proche avenir, la planète pourrait faire face à un autre « monstre » qui a été créé au fond…

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Une réflexion au sujet de « Cynthia : La bactérie synthétique qui devient dangereuse pour l’homme et l’environnement »

  1. Rambo dans ton Froc 26 octobre 2018 à 20:39
    les mathématiques sont le langage de l’univers

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    leresidue 26 octobre 2018 à 20:56
    lea mathématiques sont laseule science véritable. tout le reste n’est que langage!

    pour préciser ton propos, tout ce qui est vivant partout dans l’univers est mue par des lois universelles. Si on déséquilibre le rapport entre l’énergie utilisé et distribué qu’un système vivant a besoin pour maintenir son homéostasie, on perturbe la capacité de ce système à bien s’adapter pour la suite de ce long voyage qui est le nôtre. C’est pour cette raison précise que les p’tits gris ont besoin de nous prendre un peu d’énergie pour leur permettre à eu de se maintenir, car eux aussi sont soumis au même univers que le nôtre, cas c’est le même!
    Donc, il font fonction de parasites chez nous. C’est aussi simple que cela. Tu enlèves le parasite, et te voilà guéri. D’ailleurs la barrière sang-cerveau (la version moderne et simpliste de l’ancien terme barrière (défense) hémato-encéphalique^^) sert justement à ça, car le cerveau est le reflet de l’énergie qui nous traverse en permanence!!!! Tout est infiniment fractale ici dans notre réalité, et contrairement à presque ou toutes les autres figures géométriques actuellement concevables par nos mathématique, c’est tout à fait impossible de calculer l’aire ou le volume exact que prend une fractale ici! La seule fractale dont on a identifié un symbole spécifique (sous toutes réserves, je ne suis pas mathématicien, je ne connais pas les dernières avancées) qui nous exprime sa qualité d’avoir une aire et une circonférence précise, hé bien, c’est le cercle, tout simplement. Bête, non?

    Alors, pour résumer, la science et la médecine sont deux grosses arnaques qui nous consomme petit à petit, à tous les niveaux de notre existence, parce qu’il ne sont que le fruit défendu des petits gris qui sont venu nous sucer le sang spirituel (respiration divine, ambification 😉 ) pour se maintenir EUX en vie au dépend de tout le reste qu’ils touche. On peut dire que c’est un forme de lèpre, mais je préfère les nommer de simples petits délinquants de carrière. Un crime n’est pas un crime quand il n’y a pas de victime. et quand il y a une victime il ne faut pas punir, mais ne pas oublier. L’oublie permet au crime de parasite (comme lorsqu’un signal est corrompue, qu’il y a des interférences dans l’information qu’on souhaite transmettre) de revenir nous perturber et nous nuire quant à la suite de notre marche commune vers la sortie. Quand une justice est basée sur les mêmes conséquences pour des crimes similaires mais jamais pareils, alors la justice joue le jeux des parasites, et devient elle-même parasitaire. La justice, en fait, c »est simplement de rendre à césar ce qui appartien à césar. rendre la monnaie de sa pièce à la personne qui a trop dépensé trop vite. C’est aussi simple que bonjour. C’est bien, tout ça, non?

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